"Petit Parisien"
"Vincent endormi"
...Et je ne peux m'empêcher de partager avec vous encore ces deux chefs d'oeuvre de Ronis qui me bouleversent à chaque fois que je les contemple, comme on contemple, émerveillé, son propre enfant.
C'est l'émotion que dégage la photo qui fait la différence entre l'artiste et le commun des mortels, vous ne pensez pas? Alvaro parlait en se référant à l'architecte Peter Zumthor d'atmosphère. Personnellement je préfère parler de l'émotion que suscite cette atmosphère...
Quoi qu'il en soit, un grand Monsieur nous a quitté.
C'est l'émotion que dégage la photo qui fait la différence entre l'artiste et le commun des mortels, vous ne pensez pas? Alvaro parlait en se référant à l'architecte Peter Zumthor d'atmosphère. Personnellement je préfère parler de l'émotion que suscite cette atmosphère...
Quoi qu'il en soit, un grand Monsieur nous a quitté.
Oui, superbes. Ses images renvoient à des émotions profondes en nous. Les grands photographes parviennent à transcender l'instant... quel talent.
RépondreSupprimerla même émotion qui gagne le coeur avec la musique ...
RépondreSupprimerWilly Ronis entre dans l'histoire de son art.
Math
Les tirages des photos en noir et blanc donnent les meilleurs contrastes car ils ne sont pas perturbé par les couleurs.
RépondreSupprimerMagnifique les photos que tu as choisies.
Lou
On retrouve dans l'oeil de W . Ronis la même émotion devant l'humain que chez mon favori, Robert Doisneau, le célébrissime.Encore bravo pour tes choix.Dommage que je ne puisse insérer ma photo préférée dans ce commentaire. Rendez-vous sur mon blog...
RépondreSupprimerBises
Célestine
on les appelle les photographes humanistes, les Ronis, Cartier-bresson, Doisneau mais connais-tu Sabine Weiss ?
RépondreSupprimerFD oui, un pouvoir très impressionnant, surtout que c'est la réalité (et l'irréalité aussi) qui est capturée par l'objectif.
RépondreSupprimerMath, entièrement d'accord avec toi, comme toute forme artistique. Maintenant on peut être plus ou moins sensible à l'une ou l'autre. Personnellement j'aime quand elles se répondent.
Amaury, merci pour le compliment et surtout la richesse de ton analyse (faite en voix off) sur la symbolique -et la beauté- de la lumière dans "Vincent endormi".
Célestine j'ai été sur ton blog: quelle est ta favorite des trois?
Bérangère, merci pour cette explication. Non je connais les trois premiers mais pas Sabine Weiss. Je vais m'enrichir de ce pas!